Mesures anti-corruption
Pour préserver l’intégrité, l’équité et la précision du processus de partage d’écran, SSVerify met en place des mesures anti-corruption spécifiques conçues pour prévenir les abus et garantir des résultats impartiaux :
But: Ces mesures visent spécifiquement à prévenir les sanctions fausses (interdictions émises sans preuve suffisante ou valide), la corruption (échange de faveurs ou d’avantages contre des chèques indulgents ou des résultats prédéterminés), la mise en place ou la falsification de preuves, ainsi que toute autre action compromettant l’authenticité et l’exactitude du partage d’écran et de ses conclusions.
Pas de corruption : Toute forme de corruption, qu’elle soit sollicitée ou proposée, impliquant les vérificateurs, les joueurs ou d’autres membres du personnel, est strictement interdite et constitue une grave violation de l’éthique. Tout bénéfice, cadeau ou avantage reçu par les vérificateurs ou l’équipe SS provenant de sources non standard (par exemple, des dons de joueurs spécifiquement destinés à l’équipe SS) doit être géré avec une transparence totale, exigeant généralement que ces bénéfices soient regroupés et distribués équitablement entre l’équipe, sous la supervision directe et l’approbation des Leaders, managers ou Propriétaires de Serveurs désignés.
Examen des preuves : Si les preuves recueillies lors d’un partage d’écran sont jugées insuffisantes, ambiguës, discutables ou soulèvent des doutes quant à leur validité ou à leur contexte, l’explication ou l’interprétation du vérificateur ne doit pas être automatiquement acceptée au pied de la lettre. La direction ou la direction doivent effectuer un examen plus approfondi, pouvant impliquer des examens secondaires ou des consultations avec d’autres membres du personnel expérimentés, avant qu’une décision finale ne soit prise. Maintenir l’objectivité est essentiel.
Droit de revoir les preuves : Comme indiqué dans la section Sécurité et Vie privée, les suspects devraient généralement être autorisés à examiner les preuves spécifiques utilisées pour justifier une interdiction à leur encontre, sur la soumission d’une demande raisonnable. La détermination de la « raisonnabilité » dépend du contexte et doit être jugée par la direction en fonction de facteurs tels que le comportement global du suspect (coopératif vs. obstructif/abusif), la clarté et la spécificité de sa demande, et l’objectif déclaré (par exemple, comprendre l’interdiction ou tenter de trouver des failles dans la méthode de détection). L’objectif est d’équilibrer transparence et sécurité procédurale.
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